PARTI TRAVAILLISTE

KANAKY

vendredi 12 septembre 2014

3ème conférence des Nations Unies sur les Petits Etats Insulaires en Développement

Solidarité et responsabilité face au dérèglement climatique
La présidente du gouvernement Cynthia LIGEARD participe à la 3ème conférence des Nations Unies sur les Petits Etats Insulaires en Développement, à Apia, aux Samoa, en compagnie d’Anthony LECREN, membre du gouvernement en charge notamment de l’écologie et du développement durable.
Objectif pour la présidente du gouvernement, affirmer la présence de la Nouvelle-Calédonie au sein des organisations internationales régionales, notamment la CPS et le PROE qui sont présentes à Apia et porter la voix des collectivités insulaires auprès des Nations Unies dans la perspective de la 20ème Conférence des parties sur les changements climatiques de Lima, en décembre prochain, ainsi qu’à la 21ème Conférence des parties à Paris fin 2015.

Compte rendu de la troisième conférence des Nations unies sur les petits États insulaires en développement

Retranscription "mot à mot" de l'interview d'Anthony Lecren sur NC1ere
Mardi 9 septembre 2014 

Journaliste : La troisième conférence des Nations unies sur les petits États insulaires en développement, elle était organisée, à Apia, aux îles Samoa, le mois dernier. 150 pays et 40 États membres étaient représentés pour faire le point sur les progrès réalisés, ce qu'il reste à faire, et s'assurer d'un engagement politique, ainsi qu'asseoir les actions de développement. Hier, le membre du gouvernement en charge du développement durable, Anthony Lecren, a rappelé les principaux enseignements de ce rendez-vous : 

 Anthony Lecren : La Nouvelle-Calédonie devait consolider les propositions qu'elle avait faites dans le cadre d'Océania 21. Donc, les thématiques principales portées sur l'océan, sur le développement durable. L'Australie qui était très intéressée par notre proposition avec les îles Salomon et le Vanuatu, de s'associer dans la démarche de gestion concertée de la zone économique exclusive. Autre point essentiel que nous avons traité à l'occasion de ce sommet, c'est le développement du partenariat sur le soutien et la structuration de certaines filières de l'économie bleue, et notamment de l'holothurie. Et c'est la première fois que la Nouvelle-Calédonie, dans ce cadre et dans ce type d'espace, peut faire les propositions et contribue, puisque c'est un des objectifs, à la conférence des petits États insulaires en développement. C'est vérifier que la contribution est bien au rendez-vous et que dans ces grandes réflexions qui portent sur le devenir de la planète, avec leurs particularités, qu'elles ont bien des solutions aussi à proposer.

 

Journaliste :La troisième conférence des Nations unies sur les petits États insulaires en développement, elle était organisée, à Apia, aux îles Samoa, le mois dernier. 150 pays et 40 États membres étaient représentés pour faire le point sur les progrès réalisés, ce qu'il reste à faire, et s'assurer d'un engagement politique, ainsi qu'asseoir les actions de développement. Hier, le membre du gouvernement en charge de l'économie, Anthony Lecren, a rappelé les principaux enseignements de ce rendez-vous :
Anthony Lecren : La Nouvelle-Calédonie devait consolider les propositions qu'elle avait faites dans le cadre d'Océania 21. Donc, les thématiques principales portées sur l'océan, sur le développement durable. L'Australie qui était très intéressée par notre proposition avec les îles Salomon et le Vanuatu, de s'associer dans la démarche de gestion concertée de la zone économique exclusive. Autre point essentiel que nous avons traité à l'occasion de ce sommet, c'est le développement du partenariat sur le soutien et la structuration de certaines filières de l'économie bleue, et notamment de l'holothurie. Et c'est la première fois que la Nouvelle-Calédonie, dans ce cadre et dans ce type d'espace, peut faire les propositions et contribue, puisque c'est un des objectifs, à la conférence des petits États insulaires en développement. C'est vérifier que la contribution est bien au rendez-vous et que dans ces grandes réflexions qui portent sur le devenir de la planète, avec leurs particularités, qu'elles ont bien des solutions aussi à proposer.