PARTI TRAVAILLISTE

KANAKY

samedi 2 mai 2015

"François : et le génocide Kanak ? Quand est-ce qu'on en parle ...? "

Les génocides occidentaux dans l'histoire - La nécessaire déconstruction de la civilisation occidentale
Les génocides occidentaux dans l'histoire - La nécessaire déconstruction de la civilisation occidentale
Les génocides occidentaux dans l'histoire
La nécessaire déconstruction de la civilisation occidentale
 
«Quand la violence entre par la porte, la loi et la justice sortent par la cheminée.» (proverbe turc)
 
   Encore une fois, l'actualité mean stream nous rattrape et nous oblige à témoigner pour déconstruire un mythe et dans le même mouvement replacer les meurtres de masse depuis la découverte du Nouveau Monde. Nous ne parlerons pas des différents massacres de masse de peuples entiers, les Indiens, les Aztèques, les Incas, avec la bénédiction de l'Eglise et ceci malgré les rares suppliques à l'instar de celle de Bartoloméo de Las Casas.

Le mot génocide est-il une marque déposée?
 
Le terme génocide est apparu pour la première fois dans l’étude Axis Rule in Occupied Europe en 1944 pour tenter de définir les crimes perpétrés par les nazis à l'encontre des peuples juifs, slaves et tziganes durant la Seconde Guerre mondiale, ceux commis par le gouvernement des Jeunes-Turcs de l'Empire ottoman à l'encontre des Arméniens pendant la Première Guerre mondiale et ceux dont furent victimes les Assyriens en Irak en 1933. Même la terminologie doit obéir au magistère. Ce terme nous dit- on ne doit pas être utilisé à tort et à travers d'autant qu'il y a des mots qui sont interdits d'utiliser.
 

A titre d'exemple je cite l'article sur La déportation de Noirs. Rosa Amelia Plumelle-Uribe écrit: «Lors d'une table ronde sur la traite des Noirs et l'esclavage, en octobre 1998, j'avais traité le thème de «la déportation massive d'Africains, un crime contre l'humanité». De retour vers Paris, un historien, professeur à l'université d'Orléans, m'a suggéré d'une façon très amicale de «ne pas employer le mot déportation s'agissant de la traite car il vaut mieux éviter les malentendus». (...) J'ignorais que même le droit d'appeler par son nom la déportation d'êtres humains la plus gigantesque que l'histoire de l'humanité ait connue pouvait nous être contesté. (...) Ainsi, parce que les auteurs de ces actes barbares privilégièrent l'emploi d'euphémismes comme «traite», nous serions priés de nous en tenir là? Le monopole des mots et des définitions n'est pas anodin. Il fait partie de la manipulation de l'histoire et du contrôle de son interprétation (...) Il est temps et il est nécessaire qu'au moins les Noirs sachent que la différence fondatrice du décalage entre le génocide afro-américain et les génocides hitlériens relève non pas des faits, mais de leur qualification juridique.» (1)

La réalité des massacres des Arméniens
 
On ne peut comprendre l'acharnement de certains pays dont la France à qualifier les massacres de la Première Guerre mondiale des Arméniens de génocide sans parler de la réalité et de la qualification des faits. Interrogé par les journalistes du Monde, sur son refus de reconnaître le génocide arménien, Bernard Lewis, professeur à Princeton, déclare: «(..) Vous voulez dire reconnaître la version arménienne de cette histoire? Il y avait un problème arménien pour les Turcs à cause de l'avance des Russes et d'une population anti-ottomane en Turquie, qui cherchait l'indépendance et qui sympathisait ouvertement avec les Russes venus du Caucase. Il y avait aussi des bandes arméniennes - les Arméniens se vantent des exploits héroïques de la résistance -, et les Turcs avaient certainement des problèmes de maintien de l'ordre en état de guerre. Pour les Turcs, il s'agissait de prendre des mesures punitives et préventives contre une population peu sûre dans une région menacée par une invasion étrangère. Pour les Arméniens, il s'agissait de libérer leur pays. (...) Nul doute que des choses terribles ont eu lieu, que de nombreux Arméniens - et aussi des Turcs - ont péri. Mais on ne connaîtra sans doute jamais les circonstances précises et les bilans des victimes. (...) Pendant leur déportation vers la Syrie, des centaines de milliers d'Arméniens sont morts de faim, de froid... Mais si l'on parle de génocide, cela implique qu'il y ait eu politique délibérée, une décision d'anéantir systématiquement la nation arménienne. Cela est fort douteux. Des documents turcs prouvent une volonté de déportation, pas d'extermination.(2)
 
Pour Bernard Lewis, la vérité historique, l'honnêteté intellectuelle et le devoir de mémoire auraient voulu que le souvenir des populations musulmanes d'Anatolie orientale massacrées par les Brigades de Volontaires Arméniens engagées dans les rangs des troupes tsaristes, soit également évoqué dans ce débat. Mais force est de constater que les Arméniens se gardent bien de parler des atrocités qu'ils ont commises à l'encontre des Turcs, et passent sous silence leur alliance avec la Russie contre l'Empire ottoman...(3) (4)
 
Gilles Martin-Chauffier rédacteur en chef de Paris-Match et écrivain, a malgré l'acharnement des biens-pensants refusé d'utiliser le mot génocide. Pour lui, La Turquie a été dépecée. L'Arménie s'est retrouvée avec le tiers de la Turquie. Elle allait de la mer Noire à la Syrie. Pourquoi elle a eu un tel cadeau l'Arménie? Pourquoi un cadeau aussi extraordinaire, sinon parce qu'elle avait rendu des services extraordinaires.» (5)...
 
Un autre témoignage est celui de l'historien irlandais le Dr Patrick Walsh qui déclare: «Les faits sont des tragédies pour les chrétiens et pour les musulmans. Mais si la question reste plantée sur l'expression de génocide', nous n'avancerons jamais. Tout le monde sait qu'à l'origine de la question, il y a les grandes puissances comme la Russie.» Walsh met l'accent sur l'importance des démarches lancées par la Turquie pour une réconciliation et ajoute que les Turcs et Kurdes sont aussi les victimes des incidents de 1915 tout comme les Arméniens. Pour lui «l'éventualité d'un Etat arménien n'était pas possible car la population arménienne était une minorité à l'est de l'Anatolie. Les pays de l'Entente ont intelligemment profité des Arméniens. Et les Arméniens qui ont compté sur les pays de l'Entente ont fait une mise.» Patrick Walsh s'attarde également sur le rôle de l'Angleterre tout comme la Russie sur ces incidents et indique que «l'Angleterre a entraîné la déstabilisation de la région dès le début du 20e siècle. (...) Les nationalistes arméniens qui ont profité de la Première Guerre mondiale qui a opposé l'Etat ottoman à la Russie en 1914, ont collaboré avec les forces russes pour créer l'Etat arménien. Quand l'armée russe envahit l'Est de l'Anatolie, elle connaît un grand soutien des Arméniens ottomans (...). En même temps, les gangs arméniens ont massacré et réprimé les civils dans les endroits qu'ils ont occupés. (...) En raison des attaques qui se sont poursuivies une décision a été adoptée le 27 mai 1915 pour la déportation des Arméniens dans les zones de conflits et en coopération avec l'armée russe occupante». (6)

La genèse réelle de ces massacres: la lutte contre l'islam
 
Tour revient en définitive, à la lutte contre l'islam représenté par l'Empire ottoman, l'homme malade de l'Europe et que la sainte coalition a arrêté aux portes de Vienne en 1687. Par la suite, l'empire vermoulu fut attaqué de toutes parts par les deux nations diaboliques de l'époque, la perfide Albion et son acolyte le coq gaulois sous prétexte de précaution des minorités «La genèse historique de l'Occident, lit-on sur cette contribution, étant ce qu'elle est, cette histoire de la civilisation judéo-chrétienne jonchée de périodes troubles est entachée de crimes de masses, de génocides, de pogroms que l'Occident aimerait oublier à défaut de pouvoir l'occulter totalement. En dépit de toutes les accusations portées à l'encontre de l'islam, il n'a jamais été prouvé que cette religion, dans sa dimension politique, idéologique ou même spirituelle, ait été à l'origine de génocides ou de pogroms. (...) Si aujourd'hui avec la France en tête, les Occidentaux reprochent à la Turquie de ne pas admettre un génocide taillé sur mesure pour les descendants des Ottomans, c'est l'islam, par prolongement, qui est bien entendu visé.... Nombreux sont les historiens, intellectuels et écrivains, des Arméniens comme Asoghik et Mathieu d'Edesse à Voltaire, en passant par Lamartine à Claude Farrère, Pierre Loti, Philip Marshall Brown, Michelet, Sir Charles Wibon, Bronsard, Edgar Granville et bien d'autres qui ont fait l'éloge de la gestion admirable et équitable de la société multi-ethnique du Califat ottoman. Alors que la même époque l'Europe judéo-chrétienne vivait ses moments plongés dans les ténèbres de l'ignorance et de la barbarie médiévale et de l'inquisition.» (7)
 
Que s'est-il passé? Il semble que les Occidentaux ont promis l'indépendance aux Arméniens. «Au début du XXe siècle, les Arméniens se trouvent au sein d'une tourmente entre Orient et Occident. « Manipulés par les Russes, puis par l'Europe, les Arméniens occupant des positions-clés au sein de l'appareil d'Etat ottoman, ont joué un rôle décisif et n'hésitèrent pas à participer à la déstabilisation du Califat. En 1915. Le nouvel Empire ottoman n'était plus qu'un petit territoire de 120.000 kilomètres carrés, couvert en majeure partie de terres inexploitables. La Première Guerre mondiale achève son démembrement; les territoires arabes qu'il contrôle (Syrie, Palestine, Liban, Irak, Arabie) sont placés sous protectorat britannique et français (accord Sykes-Picot), le Caucase est perdu. Le traité de Sèvres du 10 août 1920, consacre le démembrement de l'Empire ottoman. La SDN confie les provinces arabes à la France et au Royaume-Uni. Il sera révisé par le traité de Lausanne du 24 juillet 1923, conclu avec la Turquie 'moderne'' d'Atatürk. Pour Norbert de Bischoff, 'Ainsi s'effondrait après une chute sans égale, un des plus grands empires qu'ait connus l'histoire moderne.» (7)

La modernité génocidaire commence en 1492
 
 Si nous voulons  en honnêtes courtiers rapporter les faits ou plutôt les méfaits d’Un Occident sûr de lui,  dominateur et dictant la norme, il nous faut remonter loin dans le temps pour comprendre cette pulsion de donner la mort aux peuples faibles ,sous couvert d’évangélisation, de civilisation  pour nous faire  entrer dans l’histoire pour utiliser une expression malheureuse    de Nicolas Sarkozy venu apprendre à Dakar ,aux Africains  de ne plus rêver  et d’entrée dans cette histoire que l’Occident a inauguré dit-on avec les grandes découvertes.. Ce fut la curée  synonyme de Règle des  trois C. Christianisation, Commerce, Colonisation . Il est sûr, écrit l'écrivain éclectique Kaddour M'Hamsadji, présentant l'ouvrage «L'Occident à la conquête du Monde» (8); que nous observons avec le grand historien français Marc Ferro, ce qu'il dénonce dans son «Livre noir du colonialisme, XVIe-XXIe siècles», quand il écrit: «Aujourd'hui, devant les famines qui menacent, les grandes puissances jouent les Ponce Pilate comme si elles n'étaient pas des agents de cet impérialisme multinational qui, sur les populations les plus faibles, resserrent les rets de la mondialisation. Un autre génocide, d'une certaine façon?» Mais, en vérité, «l'odieux prestige» de l'Occident impérialiste, dans tous ses états de terreur et de répression, aura commencé des siècles et des siècles plutôt dont celui où se sera inscrite l'année 1492. Cette date n'aura été qu'un repère bien «médiocre» sur son parcours vers la domination totale des peuples qu'il aura fallu convertir aux «valeurs de l'Occident»... »(9) 
 
« À ce sujet, l'ouvrage «L'Occident à la conquête du monde» de Chems Eddine Chitour apparaît comme une étude riche en questionnements. «Le postulat de départ, écrit-il, est que l'Occident chrétien se veut être, à tort, le seul producteur de sens et de normes. [...] Mais le régime colonial n'est pas seul en cause, pas plus qu'un antisémitisme allemand permet d'ignorer parfois l'extension des crimes contre des non-juifs et les ordres d'extermination mis en oeuvre avant 1914 contre les Hereros du Sud-Ouest africain.» «Décrire toutes les horreurs induites par la colonisation, sans décrire les fondements des processus de colonisation, ne pourrait permettre de savoir ce qui s'est réellement passé et pourquoi cela s'est passé.» En conclusion, ayant savamment «déconstruit notre imaginaire hérité».(9)

Des bons et des mauvais génocides
 
Dans le même ordre de la déconstruction/reconstruction du modèle occidental , une étude magistrale de Mohamed Abassa fait d'une façon élégante mais sans concession le procès de ce magistère occidental dixit adoubé par l'Eglise qui dit-il connaît l'histoire et ne se trompe pas. Il écrit: «Le pape François, dont on devine l'immense bonté pour tout ce qui est chrétien, déplore et dénonce les trois génocides du siècle dernier: le massacre des Arméniens chrétiens, les massacres nazis contre les juifs et les massacres du stalinisme communiste, du Rwanda, du Burundi et du Cambodge. (...) Pourquoi être comptable de seulement trois génocides et autres suggérés accessoires par le non-dit, et pourquoi sur un seul siècle? Les Etats-uniens comptent, à eux seuls, plus de 2000 agressions militaires directes contre des pays souverains, 402 traités de paix par eux violés, et résultat de la course, plus de 50 millions d'êtres humains massacrés par leurs armées dans les cinq continents ». (10)

« Personnellement poursuit l’auteur, , le massacre d'un seul être humain pour le motif de ses idées, de sa peau, sa religion, sa race ou ses croyances constitue en soi un génocide. Tuer quelqu'un parce qu'il est juif, chrétien ou musulman, athée ou agnostique ou rien de tout cela, est un génocide. Qu'a fait la papauté de Pie XII pour dénoncer les massacres de civils algériens, 40.000, un véritable génocide, le 8 mai 1945, à Sétif? Rien». (...) Ces génocides des cinq derniers siècles où donc sont-ils passés dans la mémoire du saint pape? Sont-ils oubliés, gommés parce que l'Eglise, la chrétienté et l'Occident y sont impliqués jusqu'à l'os? L'occupation et l'évangélisation des Amériques par l'Eglise et les Européens, Anglais, Espagnols, Portugais, Hollandais et Français en tête, ont provoqué des millions de morts, des centaines de génocides! Qui en parle? Personne. Est-ce de bons génocides? Qui ne dit mot consent. Qui a exterminé, il y a moins de trois siècles, les Sioux, les Apaches, les Navarro, les Cheyenne, les Cherokee, les Creeks, les Iroquois, les Esquimaux? Tous massacrés, leur bétail aussi et leurs récoltes incendiées pour les faire mourir de faim et de maladies, pour les exterminer, éteindre à jamais leurs races. L'épopée du Far West n'est rien d'autre qu'une fumisterie cachant une multitude infâme de génocides dont l'Eglise était partie prenante.» «Epopées odieuses dont s'est inspirée l'armée coloniale française pour tenter d'éteindre à jamais la race algérienne, A l'arrivée, par la force, de la France en Algérie, la population algérienne était estimée entre sept et huit millions d'habitants. En 1920, elle était estimée par l'administration coloniale à sept millions d'individus alors que normalement elle aurait dû être atteindre statistiquement, sur la base d'un taux de progression démographique moyen, pendant un siècle, les 11 millions d'habitants. Où sont donc passés les quatre millions d'Algériens manquants selon les prévisions des calculs démographiques? C'est tout simplement les effets différés et cumulés de la politique de 100 ans d'exterminations,(...) Ce que qualifieront Victor Hugo, Jules Ferry et Alexis de Tocqueville de «marche de la civilisation sur la sauvagerie». Ce à quoi répliquera tranquillement l'Emir Abdelkader: «Non, messieurs des Misérables c'est votre sauvagerie qui marche sur notre civilisation. Je reconnais vos traces et vos passages à mes bibliothèques et livres brûlés.» (10)
 
Camille Loty Malebranche a bien raison d'écrire: «La seule morale des puissances occidentales, est leur prépondérance et au nom de celle-ci tout, même l'argument du divin et de l'humanisme humanitaire, est évoqué pour autoriser les guerres, les bombardements et les crises humanitaires dues aux pires détresses humaines. (...). L'Occident crée les conditions de multiples détresses dont il n'assume point sa sinistre responsabilité.»(11)
 
Les massacres de masses des Arméniens , n’ont pas jailli du néant, ils sont la conséquence es Nations occidentales qui ont donné l’illusion à l’Arménie , que la « bête était morte » et que la curée pouvait se faire sur la dépouille encore frémissante de l’empire ottoman  attaqué  de toute part depuis plus d’un siècle notamment après la bataille de Lépante où l’Eglise rameuta tous les croisés ; C’était en 1827. Ce fut ensuite, les attaques des grecs , des bulgares, ce fut ensuite l’ingérence directe dans   « la question d’Orient » où l’Angleterre et la France avaient tout fait pour exciter les Chrétiens, au point qu’ils subirent des massacres en Syrie ; On le répétera jamais assez ce fut un Musulman qui sauva les 3000 chrétiens, les logea les protégea les nourrit , jusqu’à ce que les émeutes s’arrêtèrent . Résultat des courses on imposa à l’empire un gouverneur chrétien pour s’occuper des Chrétiens  « Moutassarif » . Ce fut ensuite des prêts toxiques qui achevèrent de ruiner l’empire vermoulu, jusqu’à cette première guerre où l’Empire ottoman se rangea du mauvais côté. La guerre n’était pas encore terminée que les acolytes Sykes et Picot  commencèrent à se partager la dépouille …
 
En définitive,  Il ne sert à rien de nous devons ré étalonner les mots et convenir dorénavant que toute vie humaine perdue est une tragédie sans faire dans l'étalonnage par le nombre.   L’Occident a perdu tout magister moral  que les nations lui faibles lui avaient attribué. Il nous fait découvrir chaque jour sa nature ; Sous des mots doucereux,  Il nous sature l diode avec les Droits de l’Homme – en fait des Droits de l’Homme Occidental-  il nous berce d’illusions sans lendemain. Nous devons imaginer de nouvelles grilles de lecture, qui doivent nous aider à mieux appréhender le monde et ne plus développer des réflexes pavloviens au moindre stimuli des médias occidentaux  qui nous vendent un projet d’accaparement du monde au profit, non pas des couches laborieuses, même  dans ces pays occidentaux, mais au profit exclusif d’une oligarchie  qui tient les rênes du grand capital et partant de la marche du monde. Pour paraphraser  Jean Paul Sartre  quand les riches se font la guerre , ce sont les faibles qui meurent. Ceci à moins de résister et patiemment montrer qu’ il y a une alternative, que l’on peut coexister  ensemble sans s’étriper. Faisons la paix, malgré eux, unissons nous pour un monde meilleur