Décès de Franck Apock
Franck Apock s'était d’abord engagé en politique avec le Parti travailliste.
Photo Archives LNC
Le quatrième vice-président de l’USTKE, membre du
Cese, est décédé dans la nuit de samedi à dimanche à Nouméa, des suites
d’une longue maladie.
« Un homme de convictions fortes, il a
représenté, durant trois mandatures son organisation syndicale, l’USTKE,
au titre de la province Nord, au sein du Conseil économique, social et
environnemental (Cese). Œuvrant dans les domaines du travail et des
affaires sociales, de l'Enseignement et de la jeunesse, de la culture et
du monde mélanésien au sein de notre Institution, il en était également
le questeur attentif. » C’est en ces termes qu’Yves Tissandier,
président du Cese, a tenu à rendre hommage à Franck Apock, l’une des
figures du syndicalisme local. Un homme qui avait aussi été candidat aux
Législatives dans la deuxième circonscription en 2007.
Un homme de respect et d’engagements
Celui
qui, en dépit de sa maladie, venait encore en chaise roulante
participer aux débats de l’institution jusqu’en début de mois, s’est
éteint ce week-end, au terme d’un long combat contre la maladie. « J’ai
reçu, depuis ce matin, des témoignages sincères d’amitié, d’émotion et
de tristesse, assure Yves Tissandier. Si Franck a toujours défendu, avec
son franc-parler et son bon sens naturel, ses engagements, il savait
écouter et être attentif aux autres, les respecter. Pour lui, le vivre
et travailler ensemble avaient un sens profond. » Franck Apock était
responsable de la fédération enseignement et membre de l’USTKE depuis
plus de trente ans. Une permanence est d’ailleurs mise en place
aujourd’hui au siège de l’USTKE enseignement pour l’organisation de ses
obsèques
Inquiet d’un possible financement de l’organisation terroriste État islamique par l’État français, le député UMP Jean-Frédéric Poisson a déposé ce vendredi 22 mai une proposition de résolution pour que soit créée une commission d’enquête sur le sujet, craignant notamment que Paris ne lui achète du pétrole.
La
compagnie Coca-Cola possède Odwalla, Honest Tea, Simply Orange,
Powerade, Vitamin Water, et d’autres produits, mais on la connaît avant
tout pour la marque Coca-Cola.
Dimanche, les Ethiopiens sont invités à voter pour
les élections législatives. Entre répression et boycott, l'opposition
sera la grande absente de ce scrutin. Les observateurs européens ont
même refusé de se rendre sur place. Si la presse occidentale ne fait pas
de mystères sur l'irrégularité de ces élections, elle souligne la
stabilité de l'Ethiopie et sa remarquable croissance économique. Mohamed
Hassan, lui, se demande si c'est bien de son pays dont on parle.
J'ai pu avoir
le journal LE CHIEN BLEU du 24 Mars 2015. C'est un interview accordé au
CHIEN BLEU par Sylvain DUCHAMPT journaliste de NC 1ère avant son
départ du Territoire. Sylvain DUCHAMPT avait dénoncé pas mal d'affaires
mettant en cause des hommes politiques locaux. Ce journaliste a été
contraint de quitter RFO et le territoire.Sylvain DUCHAMPT dans son interview au CHIEN BLEU a parlé des
affaires de GOMES dont l'argent distribué aux Wallisiens et la campagne
électorale de 2009. Le grand titre de cet article est : Le milieu
politique verrouille tout. Sylvain DUCHAMPT a bien déclaré dans le
CHIEN BLEU du 24 Mars 2O15 que tous les jours il y avait des jeunes
kanaks qui étaient traduits devant les Tribunaux correctionnels et que
l'on attend toujours une suite à l'enquête par la Justice sur les
comptes de la campagne électorale de CALEDONIE ENSEMBLE en 2009. J'ai
suivi cette affaire et GOMES a été personnellement impliqué. Il
bénéficie actuellement de l'immunité parlementaire car il est Député. Il
y a un article similaire de DUTAILLY sur son Journal le CHIEN BLEU de
2014 avec pour tître La Justice à deux vitesses. Là encore il parle des
affaires GOMES. En Justice les rédacteurs des
articles des journaux sont sensés détenir les preuves. Là c'est Sylvain
DUCHAMPT ex-journaliste de Calédonie 1ère qui déclare des faits dans un
journal et publiquement.
