Les pseudos journalistes, qui ne savent pas compter, ont eu le culot de dire au JT de NC1 ère : "qu'à la mobilisation de l'USTKE, 800 personnes étaient présentes selon les organisateurs et 200 selon la police" ! Alors que nous étions plus de 3 000.
Et les trois vainqueurs sont :
Et les trois vainqueurs sont :
Bernard Lassauce, José Solia et Dave Waheo-Hnasson
Cela promet pour 2018 ! ...
Attention site NC 1 ère, site mensonger avec des journalistes à botte de l'état colonial :
Manipulation de l’opinion publique et de la société
Les stratégies et les techniques couramment employées
1 – La stratégie de la diversion
Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser ; de retour à la ferme avec les autres animaux. » (extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »)
Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser ; de retour à la ferme avec les autres animaux. » (extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »)
2 – Créer des problèmes, puis offrir des solutions
Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple : laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.
Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple : laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.
3 – La stratégie du dégradé
Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.
Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.
4 – La stratégie du différé
Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu. Exemple récent : le passage à l’Euro et la perte de la souveraineté monétaire et économique ont été acceptés par les pays Européens en 1994-95 pour une application en 2001. Autre exemple : les accords multilatéraux du FTAA que les USA ont imposé en 2001 aux pays du continent américain pourtant réticents, en concédant une application différée à 2005.
Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu. Exemple récent : le passage à l’Euro et la perte de la souveraineté monétaire et économique ont été acceptés par les pays Européens en 1994-95 pour une application en 2001. Autre exemple : les accords multilatéraux du FTAA que les USA ont imposé en 2001 aux pays du continent américain pourtant réticents, en concédant une application différée à 2005.
5 – S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge
La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisant, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-âge ou un handicapé mental. Exemple typique : la campagne TV française pour le passage à l’Euro (« les jours euro »). Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? « Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans. » (cf. « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »)
La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisant, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-âge ou un handicapé mental. Exemple typique : la campagne TV française pour le passage à l’Euro (« les jours euro »). Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? « Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans. » (cf. « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »)
6 – Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion
Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…
Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…
7 – Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise
Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. « La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être de la plus pauvre sorte, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. » (cf. « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »)
Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. « La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être de la plus pauvre sorte, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. » (cf. « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »)
8 – Encourager le public à se complaire dans la médiocrité
Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte…
Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte…
9 – Remplacer la révolte par la culpabilité
Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution !…
Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution !…
10 – Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes
Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.
Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.
Seconde partie qui elle aussi va vous rappeler certains
exemples bien précis…Voici donc suivant wikipedia et l’auteur de cet
article les méthodes utilisées et les messages possibles de la
propagande:
La peur : un public qui a peur est en situation de
réceptivité passive, et admet plus facilement l’idée qu’on veut lui
inculquer. Par exemple, Joseph Goebbels a exploité la phrase de
Théodore Kaufman, « l’Allemagne doit périr ! », pour affirmer que les
Alliés ont pour but l’extermination du peuple allemand.
Appel à l’autorité : l’appel à l’autorité consiste à citer des personnages importants pour soutenir une idée, un argument, ou une ligne de conduite.
Témoignage : les témoignages sont des mentions, dans
ou hors du contexte, particulièrement cités pour soutenir ou rejeter
une politique, une action, un programme, ou une personnalité donnée. La
réputation (ou le rôle : expert, figure publique respectée, etc.) de
l’individu est aussi exploitée. Les témoignages marquent du sceau de la
respectabilité le message de propagande.
Effet moutonnier : cet appel tente de persuader
l’auditoire d’adopter une idée en insinuant qu’un mouvement de masse
irrésistible est déjà engagé ailleurs pour cette idée. Comme tout le
monde préfère être dans le camp des vainqueurs que dans la minorité qui
sera écrasée, cette technique permet de préparer l’auditoire à suivre
le propagandiste.
Redéfinition, révisionnisme : consiste à redéfinir des mots ou à falsifier l’histoire de façon partisane.
Obtenir la désapprobation : cette technique consiste
à suggérer qu’une idée ou une action est adoptée par un groupe
adverse, pour que l’auditoire désapprouve cette idée ou cette action
sans vraiment l’étudier. Ainsi, si un groupe qui soutient une politique
est mené à croire que les personnes indésirables, subversives, ou
méprisables la soutiennent également, les membres du groupe sont plus
enclins à changer d’avis.
Généralités éblouissantes et mots vertueux : les
généralités peuvent provoquer une émotion intense dans l’auditoire. Par
exemple, faire appel à l’amour de la patrie, au désir de paix, à la
liberté, à la gloire, à la justice, à l’honneur, à la pureté, etc.,
permet de tuer l’esprit critique de l’auditoire. Même si ces mots et ces
expressions sont des concepts dont les définitions varient selon les
individus, leur connotation est toujours favorable. De sorte que, par
association, les concepts et les programmes du propagandiste seront
perçus comme tout aussi grandioses, bons, souhaitables et vertueux.
Imprécision intentionnelle : il s’agit de rapporter
des faits en les déformant ou de citer des statistiques sans en
indiquer les sources. L’intention est de donner au discours un contenu
d’apparence scientifique, sans permettre d’analyser sa validité ou son
applicabilité. Ces imprécisions peuvent se glisser dans le système
juridique, sous forme d’un droit mou, poussant à la communication en
vue d’obtenir des informations, tout en influençant l’opinion publique.
Transfert : cette technique sert à projeter les
qualités positives ou négatives d’une personne, d’une entité, d’un
objet ou d’une valeur (un individu, un groupe, une organisation, une
nation, un patriotisme, etc.) sur un tiers, afin de rendre cette
seconde entité plus (ou moins) acceptable. Cette technique est
utilisée, par exemple, pour transférer le blâme d’un camp à l’autre,
lors d’un conflit. Elle évoque une réponse émotive qui stimule la cible
pour qu’elle s’identifie avec l’autorité reconnue.
Simplification exagérée : ce sont des généralités
employées pour fournir des réponses simples à des problèmes sociaux,
politiques, économiques, ou militaires complexes.
Quidam : pour gagner la confiance de son auditoire,
le propagandiste emploie le niveau de langage et les manières
(vêtements, gestes) d’une personne ordinaire. Par projection,
l’auditoire est aussitôt plus enclin à accepter les positions du
propagandiste, puisque celui-ci lui ressemble.
Stéréotyper ou étiqueter : cette technique utilise
les préjugés et les stéréotypes de l’auditoire pour le pousser à
rejeter l’objet de la campagne de propagande.
Bouc émissaire : en jetant l’anathème sur un
individu ou un groupe d’individus, accusés à tort d’être responsables
d’un problème réel (ou supposé), le propagandiste peut éviter de parler
des vrais responsables, et n’a pas à approfondir le problème lui-même.
Slogans : un slogan est une brève expression,
facile à mémoriser et donc à reconnaître, qui permet de laisser une
trace dans tous les esprits.
Glissement sémantique : technique consistant à
remplacer une expression par une autre afin de la décharger de tout
contenu émotionnel et de la vider de son sens (euphémisme). Le
glissement sémantique peut à l’inverse renforcer la force expressive
pour mieux émouvoir l’auditoire. Exemples : « frappe aérienne » à la
place de « bombardement », « dommages collatéraux » à la place de «
victimes civiles », « libéralisme » à la place de « capitalisme », «
loi de la jungle » à la place de « libéralisme », « solidarité » à la
place d’« impôt », « pédagogie préventive » à la place de « répression
policière », « intervention humanitaire préventive » à la place d’«
intervention militaire ».
Pour ceux qui souhaiteraient en savoir un peu plus, il suffit
de visiter la source d’une partie de cet article qui se trouve ici: syti.net