François
Hollande se rendra du 16 novembre au soir au 18 au matin en
Nouvelle-Calédonie pour rencontrer l’ensemble des acteurs de cette
collectivité où doit être organisé un référendum d’autodétermination
d’ici 2018.
Il s’agit de la première visite du président de la République dans cet archipel français du Pacifique sud, où depuis 1998 un processus de décolonisation progressif est en cours.
Selon le programme diffusé par l’Elysée, M. Hollande arrivera à Nouméa le 16 novembre au soir, à l’issue de la réunion du G20 à Brisbane en Australie. Une cérémonie d’accueil coutumière kanak aura lieu à l’aéroport.
Lundi, il ira se recueillir sur la tombe de Jacques Lafleur, leader de la droite non indépendantiste décédé en 2010, puis sur celle de Jean-Marie Tjibaou, leader indépendantiste assassiné en 1989.
Ces deux figures emblématiques de l’histoire récente du Caillou avaient signé le 26 juin 1988, sous l’égide de Michel Rocard, alors Premier ministre, les accords de Matignon qui ont ramené la paix après plusieurs années de violences entre indépendantistes et loyalistes.
François Hollande participera ensuite à «l’inauguration» de l’usine de traitement de nickel Koniambo à Voh, dans la province nord gérée par les indépendantistes. Le site est entré en production depuis avril 2013.
Le président se rendra ensuite à Bourail, commune rurale du sud, où un complexe hôtelier de luxe vient d’ouvrir. Il y déjeunera avec des jeunes calédoniens.
De retour à Nouméa, François Hollande s’exprimera devant des représentants de pays de la Communauté du Pacifique (CPS), organisation régionale de développement puis il s’entretiendra avec les élus locaux, au centre Culturel Tjibaou, dernier des grands travaux de François Mitterrand.
François Hollande quittera la Nouvelle-Calédonie le 18 novembre au matin pour retourner en Australie pour une visite d’Etat.
Il s’agit de la première visite du président de la République dans cet archipel français du Pacifique sud, où depuis 1998 un processus de décolonisation progressif est en cours.
Selon le programme diffusé par l’Elysée, M. Hollande arrivera à Nouméa le 16 novembre au soir, à l’issue de la réunion du G20 à Brisbane en Australie. Une cérémonie d’accueil coutumière kanak aura lieu à l’aéroport.
Lundi, il ira se recueillir sur la tombe de Jacques Lafleur, leader de la droite non indépendantiste décédé en 2010, puis sur celle de Jean-Marie Tjibaou, leader indépendantiste assassiné en 1989.
Ces deux figures emblématiques de l’histoire récente du Caillou avaient signé le 26 juin 1988, sous l’égide de Michel Rocard, alors Premier ministre, les accords de Matignon qui ont ramené la paix après plusieurs années de violences entre indépendantistes et loyalistes.
François Hollande participera ensuite à «l’inauguration» de l’usine de traitement de nickel Koniambo à Voh, dans la province nord gérée par les indépendantistes. Le site est entré en production depuis avril 2013.
Le président se rendra ensuite à Bourail, commune rurale du sud, où un complexe hôtelier de luxe vient d’ouvrir. Il y déjeunera avec des jeunes calédoniens.
De retour à Nouméa, François Hollande s’exprimera devant des représentants de pays de la Communauté du Pacifique (CPS), organisation régionale de développement puis il s’entretiendra avec les élus locaux, au centre Culturel Tjibaou, dernier des grands travaux de François Mitterrand.
François Hollande quittera la Nouvelle-Calédonie le 18 novembre au matin pour retourner en Australie pour une visite d’Etat.