« La Fête de l’Humanité est en cette rentrée la fête de toute la
gauche, du moins celle qui n’a pas renoncé, la fête des forces
solidaires et humanistes », extrait de l’édito de Maurice Ulrich
sur le site internet (fete.humanite.fr/En-ces-temps-menacants) dédié à
cette grande manifestation culturelle, politique, sociale du 12 au 14
septembre où l’on trouve toutes les infos pratiques, le programme, le
blog, les différents exposants, la rubrique presse notamment pour les
médias. On apprend au détour des clics sur leur blog que le Marley
ivoirien, Alpha Blondy se produira sur la grande scène le soir du 12
septembre. Il va revisiter ses hymnes mythiques et les titres de son CD
« Mistic Power ». Autres espaces de découvertes pour les non-initiés
qui sans eux, la Fête de l’Humani
té ne serait pas ce qu’elle est aujourd’hui : les stands de Mouvements
de jeunes, les Sections et Fédérations du Parti Communiste Français, des
Associations et Organisations, des Syndicats et Institutions, des
Publications, des Radios et des Partenaires institutionnels. Le «
Village du Monde », le « Village du Livre », le « Forum Social », le «
Tourisme et l’Espace enfance » proposent aussi des stands. L’embarras
du choix en perspective !
Concernant notre Organisation syndicale et celle du P.T, quatre de nos camarades ont fait le déplacement jusqu’à Paris dès lundi soir. Ils tiennent un stand au « Village du Monde » comme les années précédentes où il y a tous les mouvements de lutte et de résistance du monde. Le stand Kanaky – Nouvelle-Calédonie est situé dans l’avenue Chokri Belaïd et il est entouré de celui de la « République Arabe Sahraouïe Front Polisario » et de l’autre côté le stand de « Haïti Afhsa ». Des rencontres vont avoir lieu certainement avec le peuple palestinien, avec les amis basques, avec les camarades corses. Deux thèmes majeurs vont être au programme dès ce vendredi : « le peuple kanak, peuple exploité » et « syndicalisme et lutte anticolonia le ». Samedi, il est prévu une entrevue sur le site avec Thierry Lepaon, secrétaire général de la CGT. Ils évoqueront un nouveau protocole de coopération USTKE/CGT qui sera traité et signé au Congrès de l’Ustke fin 2015.
Mais avant cela, nous vous donnons un petit aperçu de leur arrivée à Montreuil au siège de la CGT avant la tenue des débats, des rencontres sur place au parc départemental Georges-Vallon à la Courneuve.
Concernant notre Organisation syndicale et celle du P.T, quatre de nos camarades ont fait le déplacement jusqu’à Paris dès lundi soir. Ils tiennent un stand au « Village du Monde » comme les années précédentes où il y a tous les mouvements de lutte et de résistance du monde. Le stand Kanaky – Nouvelle-Calédonie est situé dans l’avenue Chokri Belaïd et il est entouré de celui de la « République Arabe Sahraouïe Front Polisario » et de l’autre côté le stand de « Haïti Afhsa ». Des rencontres vont avoir lieu certainement avec le peuple palestinien, avec les amis basques, avec les camarades corses. Deux thèmes majeurs vont être au programme dès ce vendredi : « le peuple kanak, peuple exploité » et « syndicalisme et lutte anticolonia le ». Samedi, il est prévu une entrevue sur le site avec Thierry Lepaon, secrétaire général de la CGT. Ils évoqueront un nouveau protocole de coopération USTKE/CGT qui sera traité et signé au Congrès de l’Ustke fin 2015.
Mais avant cela, nous vous donnons un petit aperçu de leur arrivée à Montreuil au siège de la CGT avant la tenue des débats, des rencontres sur place au parc départemental Georges-Vallon à la Courneuve.
Un geste qui s’est répété lors de leur arrivée à l’immeuble de la CGT, à Bernard Mairiaux et Mariannick Lebris, tous deux formateurs à la CGT qui connaissent un peu notre pays pour y être venus récemment dans le cadre de leur travail de formateurs de stagiaires. Autre rencontre avec Jäcklein Wolf de l’Espace International et Patrick Varela, représentant de l’Espace Vie Syndicale chargé des élections professionnelles notamment.
Les sujets de discussion ont porté principalement sur le listing des métiers par conventions collectives et la question de la représentativité syndicale de notre Organisation. Autre sujets évoqués : les types de formations dont auraient besoin l’Ustke qui soulèvent la problématique d’un plan de syndicalisation. Comment créer des outils pour former nos adhérents ? En ligne de mire : la mise en place d’un groupe de travail concernant la « démocratie sociale » c’est-à-dire une commission de travail afin de réduire, de rationnaliser le nombre de conventions collectives. Par exemple, dans la Fédération Industrie, un groupe de travail est né à l’initiative de l’Ustke pour la convention Boulangerie/Pâtisserie, lancés par le gouvernement, la DTENC.
Un tour de « Paris by night » s’est fait tout naturellement pour nos représentants syndicaux avec l’aide précieuse de Yasmina.