Le Haut Commissaire de la République en Polynésie française a
notifié en fin de journée vendredi 5 septembre à Gaston Flosse sa
démission d'office de ses fonctions de président du gouvernement
territorial et de conseiller territorial.
Déchu, Gaston Flosse quitte ses fonctions de président
En application des décisions de justice de l'affaire dite des
emplois fictifs de la Présidence, le Haut Commissaire de la République
en Polynésie, Lionel Beffre a pris un arrêté déclarant Gaston Flosse
démissionnaire d'office de ses mandats de conseiller et de président du
gouvernement territorial.
L'Assemblée de Polynésie dispose désormais de quinze jours pour élire un nouveau président.
Dans un communiqué, la présidence indique que Gaston Flosse "a souhaité attendre que sa démission d'office lui soit notifiée car il a toujours contesté les faits qui lui sont reprochés et considère que dans cette affaire les voies de droit ne sont pas épuisées".
Après avoir désigné l'actuel président de l'Assemblée de Polynésie, Edouard Fritch, comme son candidat à sa propre succession, le dernier acte politique de la mandature de Gaston Flosse a consisté à demander à ce que l'Assemblée de Polynésie se réunisse en session extraordinaire jeudi 11 septembre pour procéder à l'élection du nouveau président du gouvernement.
Une fois élu, ce dernier devra former sous cinq jours un nouveau gouvernement composé de sept à dix membres au maximum.
L'Assemblée de Polynésie dispose désormais de quinze jours pour élire un nouveau président.
Dans un communiqué, la présidence indique que Gaston Flosse "a souhaité attendre que sa démission d'office lui soit notifiée car il a toujours contesté les faits qui lui sont reprochés et considère que dans cette affaire les voies de droit ne sont pas épuisées".
Après avoir désigné l'actuel président de l'Assemblée de Polynésie, Edouard Fritch, comme son candidat à sa propre succession, le dernier acte politique de la mandature de Gaston Flosse a consisté à demander à ce que l'Assemblée de Polynésie se réunisse en session extraordinaire jeudi 11 septembre pour procéder à l'élection du nouveau président du gouvernement.
Une fois élu, ce dernier devra former sous cinq jours un nouveau gouvernement composé de sept à dix membres au maximum.