C’est un crime contre l’humanité, c’est odieux, c’est effroyable ! Les mots nous manquent pour exprimer notre désarroi face à une telle atrocité !
De notre petit bout de pays en voie d’émancipation, surnommé le « Caillou » ou « Kanaky » implanté dans la région du Pacifique Sud, nous avons l’impression que rien n’est fait pour pacifier la région du Proche-Orient où l’État d’Israël continue à étendre, à fortifier sa politique colonialiste depuis 1948 avec l’appuie de Trump, le président actuel américain. Son administration a jugé nécessaire de transférer l’ambassade américaine vers Jérusalem ce qui a provoqué un tollé chez les manifestants palestiniens.
L’État d’Israël continue à nier les droits légitimes du peuple Palestinien, 70 après, il poursuit méthodiquement sa politique de dépossession, de colonisation et d’occupation, ainsi que le maintien de la bande de Gaza sous un blocus illégal et inhumain, en violation de toutes les résolutions adoptées par les Nations Unies.
L’USTKE exige la levée immédiate du blocus de Gaza et soutient la résistance palestinienne et s’associe aux organisations non-gouvernementales, aux associations œuvrant pour la paix au Proche-Orient quant à l’exigence d’une protection internationale du peuple palestinien et de sanctions contre l’État d’Israël.
L’USTKE demande à ses soutiens internationaux de joindre leurs efforts de solidarité afin que la (les) voix du peuple Palestinien puisse(nt) résonner au-delà des mers et, nous tenons également à exprimer nos sincères condoléances aux familles des victimes tués encore une fois de plus sous le coup d’une armée d'occupation coloniale.
Le Bureau confédéral de l’USTKE
Cette banderole a été déployée au début du cortège des travailleurs de Kanaky durant la marche du 1er mai de cette année, dans les rues de Nouméa.
Le 30 juillet 2014, de nombreuses personnes étaient venues à l'appel de notre Organisation syndicale pour marquer leur soutien au peuple Palestinien. Un rassemblement, ponctué par des prises de parole de certains de nos responsables politiques indépendantistes, devant l'entrée du Haussariat.
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