Conférence régionale pour les Pays et territoires d’outre-mer du Pacifique
La Commission européenne, en collaboration avec le gouvernement de la Polynésie française et en lien avec les services de l’État, organise la « Conférence régionale pour les Pays et territoires d’outre-mer » (PTOM) du Pacifique, les 25 et 26 novembre 2014 à Papeete.
La Commission européenne, en collaboration avec le gouvernement de la Polynésie française et en lien avec les services de l’État, organise la « Conférence régionale pour les Pays et territoires d’outre-mer » (PTOM) du Pacifique, les 25 et 26 novembre 2014 à Papeete.
Cette conférence régionale réunit des représentants des quatre PTOM 
et des États membres dont ils relèvent, des quinze pays du groupe 
Afrique Caraïbe Pacifique (ACP), des organisations régionales et la 
Banque Européenne d’Investissement (BEI).
Cette conférence vise au renforcement de la coopération entre les 
acteurs de cette zone, et l’identification des priorités d’interventions
 financières de l’Union européenne, notamment au titre du Fond
Dans ce contexte, Lionel Beffre, Haut-commissaire de la République en
 Polynésie française, ouvrira demain mardi 25 novembre, la Conférence 
régionale aux côtés du Président de la Polynésie française, Édouard 
Fritch et de l’Ambassadeur Andrew Jacobs, chef de la délégation de 
l’Union Européenne pour le Pacifique.
Le Haut-commissaire s’est entretenu ce jour avec l’ambassadeur dans 
le cadre d’une rencontre protocolaire ainsi qu’avec M. Adam Bruun, chef 
du bureau pour le Pacifique à la Banque Européenne d’Investissement et 
M. Pierre Hamihlat, directeur pour l’Asie, le Moyen-Orient, le Golfe et 
le Pacifique de la direction de la Commission Européenne pour le 
 Développement et la Coopération.
Lionel Beffre a évoqué avec ses interlocuteurs, en amont de la 
Conférence, la nécessaire cohérence entre les différents niveaux des 
interventions financières publiques, et la nécessité des soutiens 
financiers de l’Etat aux collectivités ainsi qu’au secteur privé dans le
 Pacifique. En effet, le contexte économique reste difficile. Les 
domaines à enjeux, porteur de  grands projets, comme les énergies 
renouvelables, le transport, l’eau ou les communications doivent être 
accompagnés.